La sociologie du Grenellois
Le Grenellois est majoritairement né en région parisienne, de parents Rhône-alpins (allez l’OL !) quand ils sont eux-mêmes nés en France ou marocains quand les parents viennent de l’étranger.
Le Grenellois a autour de 30 ans, il a généralement mené de brillantes études supérieures, parle au moins trois langues voire quatre pour les « mythos » et aime travailler dans le domaine de l’ingénierie informatique.
Ses loisirs sont multiples et ses goûts variés en font un citoyen éclectique qui apprécie le football, mais qui aime aussi le ballon rond, et se révèle en plus amateur de 4-4-2.
Pour compléter sa riche vie sociale, il est tout autant un grand consommateur de musique et de cinéma.
A quelques exceptions près, le Grenellois est célibataire et sans enfants en quelque sorte victime de son succès auprès de la gente féminine du quinzième arrondissement qui ne dédaigne pas de se pâmer devant les atours musculeux et les abdos-kro du joueur de football amateur.
Il est supporter du PSG, proximité oblige, mais est imprégné d’une culture qui l’a vu frissonner sous le talent de Thierry Henry et les arabesques du « tiki-taka » du Barça.
Joueur simple, humble et travailleur, ses gestes favoris sont la passe (évidemment millimétrée) et le crochet (nécessairement dévastateur), ce qui le pousse souvent à réaliser la combinaison magique : crochet du droit, feinte de frappe, crochet du gauche, frappe minable écrasée du droit et engueulade magistrale du Coach !